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La pomme de terre n'est pas une culture comme les autres.... Alpha Semences y attache une attention particulière depuis de nombreuses années dans le cadre de ses recherches.

C'est une culture gourmande et exigeante en éléments nutritifs. Elle a des besoins en eau à des moments critiques. Elle a enfin de nombreux prédateurs (nématodes, champignons, insectes,...).

 

 

Le choix de l'interculture a un impact majeur sur la réussite de cette culture.

Alpha Semences a conçu des mélanges à base de Radis fourrager multirésistant et de phacélie pour quatre objectifs précis : 

  • Augmenter le rendement de la pomme de terre 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette synthèse pluri-annuelle et multi-locale démontre l’impact très positif en moyenne de semer le radis fourrager tardif multirésistant sur le rendement de la pomme de terre qui suit .

 

+7% par rapport à un sol nu en précédent pomme de terre! 

 

C’est très important et démontre la rentabilité directe de cette interculture avant pomme de terre.

  • Diminuer ou prévenir la présence de nématodes pathogènes

Selon différentes sources, quelques centaines d’hectares sont contaminés par le nématode pathogène du genre méloïdogyne dans la zone Nord. Ce n’est pas encore très important. Par contre, l’implantation des cultures intermédiaires depuis les années 90, crée une situation nouvelle.

 

Ces nématodes, Meloïdogyne chitwoodi et fallax, se multiplient à des températures basses dans le sol, dès 5 à 6° et la plupart des cultures intermédiaires actuellement utilisées sont multiplicatrices. Leur implantation à l’automne augmente le potentiel de multiplication, s’il y a présence.

 

Pour les Nématodes Meloïdogyne chitwoodi et fallax, le seul moyen de les contenir est d’utiliser des variétés de radis fourrager multirésistantes, comme culture intermédiaire. Ce sont les résultats des essais menés dans les pays concernés, au premier rang desquels figurent les Pays-Bas, qui le prouvent.

 

Pour quelques euros de plus, ces radis multirésistants permettent de prendre les précautions de sagesse et de préserver l’avenir des productions de pommes de terre.

 

Concernant les nématodes du genre Globodera, des essais

récents anglais ont démontré l’intérêt de mettre en place

descouverts type radis fourrager pour limiter leur présence

en parcelles.  Ceci est probablement lié à leur capacité à

absorber puis restituer le soufre connu pour ses vertus

assainissantes.

                                                                                                                     globodera pallida (gauche) et meloïdogyne chitwoodi en pomme de terre

  • Accélérer la restructuration naturelle du sol

  • Agir sur certains pathogènes et insectes prédateurs

Les brassicacées sont des espèces efficaces pour piéger les éléments résiduaires, comme le soufre. La décomposition d’un tel couvert dans le sol libère des composés soufrés assainissant pour un sol.

Cet effet indirect du couvert, sans le survendre, est démontré par de nombreuses publications scientifiques.

Les pathogènes et prédateurs cités concernant la pomme de terre sont : le rhizoctone brun, le fusarium, la verticilliose, mais également certains nématodes type globodera ou même taupins. Ces travaux ouvrent des nouvelles pistes en l’absence de solutions phytosanitaires convenables.

Ainsi, au vu de tous ces bénéfices cumulés, nous affirmons que le mélange Radis fourrager tardif antinématodes + phacélie RADIPHACI est le mélange indispensable avant pomme de terre.

Le tassement de sol en profondeur est un problème important dans nos régions. Pour y remédier, des travaux de sol même profonds sont insuffisants.

Hormis la prévention et les alternances climatiques fortes (gel/dégel, sécheresse/humectation), les moyens de lutte sont limités.

Les vers de terre et les couverts végétaux permettent de recréer de la porosité dans ces horizons parfois compacts.

 

En choisissant des espèces comme le radis fourrager et la phacélie et en les laissant suffisamment longtemps croître en profondeur :  la perméabilité à l’air est améliorée par la couverture du sol suggérant une meilleure continuité des pores. La vitesse d’infiltration au travers de l’horizon tassé (25 cm) est améliorée (source Agrotransfert).

 

Ceci suggère une meilleure efficience de l’eau et un meilleur ressuyage, notamment pour la fermeture des lenticelles par exemple.

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